Dans ces bras-là...
Ça tombait bien, au fond, cette foudre me transperçant à la terrasse d'un café, c'était un signe du ciel, cette flèche fichée en moi comme un cri à sa seule vue, cette blessure rouvrant les deux bords du silence, ce coup porté au corps muet, au corps silencieux, par un homme qui pouvait justement tout entendre.
Il me sembla que ce serait stupide de faire avec lui comme toujours, et qu'avec lui il fallait faire
comme jamais.
Camille
Laurens.
Décembre 2024 | ||||||||||
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Les provenances des visiteurs de mon blog peuvent être aussi incongrues que poétiques. Aussi ai-je trouvé à mon réveil une phrase magnifique, qui m'a touchée au coeur comme un message personnel, une ligne parfaitement confondue à la douce tristesse de ces deux derniers jours, en contrepoint de couture à cette matinée radieuse sous laquelle la nostalgie fond comme neige au soleil :
A l'aube du crépuscule, un corps va vivre en minuscule avec pour seule compagne une âme qui sommeille sans rêves.
J'ignore qui l'a écrite et, bien sûr, qui l'a tapée dans le moteur de recherche. Si cette personne revient et souhaite déposer ici un petit mot, cela me ferait grand plaisir.
Doux, violent, langoureux et passionné dimanche à tous.
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