Le blog de Chut !
Hier ? Une de ces journées où il ne manque que la corde et la poutre pour se pendre... Et alors que je sors à grand-peine des brumes (à 15h00
passées, je ne vous raconte pas la fin de nuit terrée au lit), je me connecte et découvre vos messages. Je suis émue, vraiment. Parce que pendant que je dormais, vous êtes passés par là, avez pris
le temps et la peine d'écrire un petit mot.
Du coup, je me sens toute ragaillardie. J'ai l'impression à la fois étrange et rassurante que des présences amicales volettent autour de moi. Une sorte "d'armée des ombres" bienveillante faisant rempart. Absente et présente à la fois.
C'est peut-être ce qui me fascine dans l'objet blog : la possibilité qu'il soit lu à tout moment, sans que je le sache ; que des gens tombent dessus par hasard et décident d'y rester un peu pour le parcourir ; qu'il touche des personnes qui me connaissent et des inconnus qui s'y reconnaissent. Tout cela, oui, mais plus encore. Et ce encore, c'est le lien invisible qu'article après article, il tresse entre nous.
Je n'ai pourtant pas choisi son nom en pensant à vous, mais en pensant à moi. Un titre en écho à mes nœuds, mes jeux, mes obsessions de l'attache. Une réminiscence en forme d'hommage à Boris Cyrulnik aussi, même si je n'ai pas lu ce livre-là.
Aujourd'hui, je m'aperçois que sous le signe du lien avait également un autre sens, peut-être évident aux yeux de certains : celui du partage.
Que cette journée vous soit à tous douce et belle.
Je vous embrasse.
Du coup, je me sens toute ragaillardie. J'ai l'impression à la fois étrange et rassurante que des présences amicales volettent autour de moi. Une sorte "d'armée des ombres" bienveillante faisant rempart. Absente et présente à la fois.
C'est peut-être ce qui me fascine dans l'objet blog : la possibilité qu'il soit lu à tout moment, sans que je le sache ; que des gens tombent dessus par hasard et décident d'y rester un peu pour le parcourir ; qu'il touche des personnes qui me connaissent et des inconnus qui s'y reconnaissent. Tout cela, oui, mais plus encore. Et ce encore, c'est le lien invisible qu'article après article, il tresse entre nous.
Je n'ai pourtant pas choisi son nom en pensant à vous, mais en pensant à moi. Un titre en écho à mes nœuds, mes jeux, mes obsessions de l'attache. Une réminiscence en forme d'hommage à Boris Cyrulnik aussi, même si je n'ai pas lu ce livre-là.
Aujourd'hui, je m'aperçois que sous le signe du lien avait également un autre sens, peut-être évident aux yeux de certains : celui du partage.
Que cette journée vous soit à tous douce et belle.
Je vous embrasse.
Dim 13 jan 2008
1 commentaire
Boris Cyrulnik, pour moi c'est avant tout ces travaux sur la capacité de résilience .
Trekker - le 24/01/2008 à 00h28
Oui, c'est aussi une des raisons pour lesquelles j'ai choisi le titre de ce blog. Tout est lié... sous le signe du lien.
Chut !