Le blog de Chut !
Le cadre, d'abord.
Une soirée fetish-BDSM, ouverte à tous qui portent des vêtements en latex, cuir ou vinyle. C'est le dress-code de rigueur pour pouvoir franchir les portes de "l'enfer" : deux grandes caves contigues dans lesquelles se presse, je le pressens, une faune underground de fétichistes, de dominas et de soumis. De quoi titiller ma curiosité, mon imagination et d'autres penchants bien moins avouables...
Dans la première cave, le bar et un espace défendu par un rideau noir. Le lieu de toutes les débauches, des scènes les plus chaudes dérobées au regard des nouveaux arrivés, me dis-je aussitôt (en fait, je n'ai qu'à moitié raison, car le "spectacle" se tiendra aussi dans la salle). Je passe sans hésiter de l'autre côté.
Tranchant sur le décor minimaliste de vieilles pierres et de béton, émergeant de la fumée des cigarettes, alanguie sur les escaliers, indifférente au bruit qui l'entoure, une femme s'évente le visage. Négligemment appuyée sur deux amies qui lui servent d'écrin, elle irradie d'une sensualité gourmande, lascive.
Shéhérazade surgie des 1001 nuits, nourrie aux gâteaux de miel et au lait de chamelle, la peau tendue à craquer, douce comme la soie, frottée d'herbes aromatiques. Sa chair opulente dessine un paysage superbe, tout en vallons et collines. Ses seins débordant de son corset sont deux outres d'ivresse. La main rêve de s'y attarder, la bouche de s'y coller. Générosité du plein, sources de vie, réminiscences du sein maternel. La chair dans toute sa splendeur. Son parfum ? Sûrement cannelle, gingembre et piment, fragrances subtiles et enivrantes d'Orient.
Il y a du sacré dans cette femme-là.
Sa longue jupe relevée dévoile ses jambes jusqu'à sa culotte. Cuisses replètes, voluptueuses, genou charnu strié de fossettes, mollets plantureux.
Et au bout, un pied adorable, potelé, qu'honore un soumis à demi nu. Allongé sur les marches, il le baise, le lèche, le vénère.
En adoration, comme il se doit.
Une soirée fetish-BDSM, ouverte à tous qui portent des vêtements en latex, cuir ou vinyle. C'est le dress-code de rigueur pour pouvoir franchir les portes de "l'enfer" : deux grandes caves contigues dans lesquelles se presse, je le pressens, une faune underground de fétichistes, de dominas et de soumis. De quoi titiller ma curiosité, mon imagination et d'autres penchants bien moins avouables...
Dans la première cave, le bar et un espace défendu par un rideau noir. Le lieu de toutes les débauches, des scènes les plus chaudes dérobées au regard des nouveaux arrivés, me dis-je aussitôt (en fait, je n'ai qu'à moitié raison, car le "spectacle" se tiendra aussi dans la salle). Je passe sans hésiter de l'autre côté.
Tranchant sur le décor minimaliste de vieilles pierres et de béton, émergeant de la fumée des cigarettes, alanguie sur les escaliers, indifférente au bruit qui l'entoure, une femme s'évente le visage. Négligemment appuyée sur deux amies qui lui servent d'écrin, elle irradie d'une sensualité gourmande, lascive.
Shéhérazade surgie des 1001 nuits, nourrie aux gâteaux de miel et au lait de chamelle, la peau tendue à craquer, douce comme la soie, frottée d'herbes aromatiques. Sa chair opulente dessine un paysage superbe, tout en vallons et collines. Ses seins débordant de son corset sont deux outres d'ivresse. La main rêve de s'y attarder, la bouche de s'y coller. Générosité du plein, sources de vie, réminiscences du sein maternel. La chair dans toute sa splendeur. Son parfum ? Sûrement cannelle, gingembre et piment, fragrances subtiles et enivrantes d'Orient.
Il y a du sacré dans cette femme-là.
Sa longue jupe relevée dévoile ses jambes jusqu'à sa culotte. Cuisses replètes, voluptueuses, genou charnu strié de fossettes, mollets plantureux.
Et au bout, un pied adorable, potelé, qu'honore un soumis à demi nu. Allongé sur les marches, il le baise, le lèche, le vénère.
En adoration, comme il se doit.
Jeu 20 déc 2007
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